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Les carnets d’Adélaïde 2022

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Les carnets d’Adélaïde 2022

Première restitution de l’atelier de pratique

Après les deux premiers spectacles en 2017 et 2018, la Compagnie a ouvert ses portes à de nouveaux comédiens, mélangeant ainsi adolescents et adultes. Malheureusement, les années 2019/2020 & 2020/2021 été marquées par l’épidémie de COVID qui nous a empêché de fonctionner normalement.
Néanmoins en 2020/2021, nous avons commencé à travailler (très souvent en distanciel!) sur la pièces d’A. Michalik, Le Porteur d’histoire. Compréhension du texte, recherches sur les personnages, travail sur l’art du conteur…

C’est ainsi que l’année suivante, nous avons enfin pu être ensemble, avec une équipe un peu renouvelée. Nous avons retravaillé le texte, pour le rendre plus accessible c’est pourquoi nous l’avons nommé Les carnets d’Adélaïde.

Un petit village d’Algérie, mai 2001 : un homme arrive chez Alia et sa fille Jeanne. Et il se met à leur raconter une histoire qui va les faire voyager dans l’espace et dans le temps : l’histoire des carnets de la mystérieuse Adélaïde, du jeune Alexandre Dumas, d’un trésor fabuleux, d’une communauté matriarcale qui prône le savoir et la liberté des peuples, d’un arbre calice, de la force de la fiction et de l’amour.

 

Nous vous invitons à un drôle de voyage dans l’espace et le temps… Pour vous aider un peu voici quelques repères !

      • L’histoire débute en Algérie à Mechta Layadat en 2001
      • L’Homme raconte une histoire qui se passe en France dans les Ardennes en 1988 à Lingchamps.
      • Ensuite nous sommes transportés en 1822 dans une diligence entre Villers Cotterêts et Paris.
      • Après quelques allers retours entre l’Algérie (2001) et les Ardennes (1988), nous replongeons en 1832 en Algérie, à Sidi Zouaoui puis au nouvel an 1830 au Palais Royal à Paris à la cour de Charles X.
      • Là, le Comte de Polignac nous raconte ce qui est arrivé à sa mère Yolande de Polastron, amie de Marie Antoinette, reine de France en mai 1778.
      • De retour en 2001 où l’Homme continue de raconter son histoire à Alia et sa fille, il évoque son arrestation et son évasion (1988).
      • On retrouve Martin chez son frère Henri au Canada en 1994 ; Henri raconte à son frère un souvenir vécu avec leur père en 1978 en Provence.
      • Enfin nous retrouvons l’Homme, Alia et Jeanne en 2001…

 

DISTRIBUTION
Par ordre d’apparition :

Nejma Hedjem :             Jeanne, fille d’Alia – Sylvie, femme de Martin – Marie Antoinette, reine de France

Nolig Rivoalen :             L’Homme (2001) – Yolande de Polastron, amie de la reine

Zaïneb Hebbadj :            Alia

Gweneg Rivoalen :         Martin (1988) – Eugène Delacroix (1830-1832) – Martin (1995)

Léa Salem :                     Un passant – Alia – Frédéric de Saxe de Bourville –

Annie Langlois :             Ginette – La femme sans âge – un serviteur – Louis de Bourmont – Le garagiste

Pascale Lafarie :             Josiane – Michel – Jules de Polignac – Alexandre (1870)

Thibaud Delaval :           Le notaire – Henri (1988-1994-1978)

Isaig Rivoalen :               Martin (1988 – 1994) – Adélaïde (1832 – 1822)

Adrien Marty :                L’Homme (2001) – Alexandre Dumas (1822 – 1830)

Cécile Rizzo :                 Le policier – Le père d’Henri et Martin – Adélaïde (1870)

Création lumières
Sébastien Sarian & B. Mancel

Création musique et ambiance sonore :
Florentin Abel

Adaptation du texte, mise en scène et costumes :
Brigitte Mancel

 

Remerciements

              • À toute l’équipe de la MLC pour leur accueil et leur aide. Et en particulier : Sébastien et Florentin pour leur apport technique et créatif ;
                Rammane pour son ingéniosité !
              • Aux familles des comédien.ne.s pour leur patience et leur investissement !
              • À Michel et Sarah pour l’accueil.